Votez pour l'élection de Nicolas Babin au comité de direction de la Web Analytics Association !

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La Web Analytics Association (WAA) fédère les intérêts de tous les acteurs du Web Analytics dans le monde : les utilisateurs, les fournisseurs, les consultants, etc. Composée de membres très influents elle donne souvent une direction au marché : http://www.webanalyticsassociation.org/


Cette association va élire prochainement un membre du comité de direction « non nord-américain ».



Nicolas Babin, Directeur des Opérations de AT Internet, est le seul candidat français de cette élection et serait à ce titre votre meilleur ambassadeur dans cette WAA … en plus d’être l’un des dirigeants d’AT Internet donc le mieux placé pour connaître vos préoccupations quotidiennes sur le sujet du Web Analytics.  


Si vous êtes vous-même membre de la WAA : Votez pour lui !!


Et sinon n’hésitez pas à transmettre l’information aux personnes que vous savez concernées.


Voir le profil de Nicolas Babin

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Apple à l'assaut de Google avec son offre de pub mobile (iAD ?)

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Apple va t'il tenter de s'emparer d'une part du gros gâteau de Google ?

Merci la géolocalisation et l'iPhone

Les premiers échos font référence à une monétisation des applications grâce à des publicités géolocalisées.

«  Si vous mettez au point une application comprenant des fonctionnalités basées sur la localisation de l'utilisateur, assurez vous que ces fonctionnalités fournissent une information bénéfique. Si votre application utilise en premier lieu ces informations pour permettre aux annonceurs mobiles de délivrer des publicités ciblées en fonction de la position de l'utilisateur, votre application vous sera retournée par l'équipe en charge de la validation App Store afin que vous la modifiiez », indique depuis février une notice publiée sur le site d'Apple.

Ce pourrait être ainsi une incursion dans le territoire très protégé de la publicité en ligne. Après Bing, et Baidu, l'actualité concurrentielle est chargée pour Google !


iAd, la régie publicitaire de Apple ?

Et surtout ce serait un moyen très facile pour Apple de rentabiliser au mieux sa régie publicitaire, AdMob, achetée 750 millions de dollars.


Les développeurs pourraient ainsi avoir accès à cette offre de monétisation, qui donnerait un coup de pouce aux application gratuites sur l'App Store.



Neteco avance aussi l'idée de proposer cette plateforme de publicité en ligne à tous les éditeurs de sites mobiles.
Plus un marché est ouvert, plus il est dynamique. C'est donc une bonne idée.

Au moins l'utilisateur pourra décider de ne pas être ciblé en permanence en désactivant la fonction de géolocalisation ... mais c'est tellement pratique !

Source Neteco

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Renault lance 48 sites web pour les Megane coupé-cabriolet et Roadster Wind

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Quand Renault décide de lancer des sites dédiés à ses nouveaux modèles, le constructeur ne fait pas les choses à moitié.


Pour le lancement de ses modèles Mégane Coupé-Cabriolet et Roadster Wind, la marque au losange a tout simplement lancé 48 sites web. Vous avez bien lu. 48 sites web. 

L'agence Tequilarapido va réaliser ce projet, qui repose sur deux leviers de communication : des sites destinés à promouvoir le lancement des véhicules d'autres les valeurs qui y sont associées. Malin.

Ils seront déclinés dans 24 pays et presque autant de langues. Il s'agit de donner aux responsables de Renault dans ces pays un accès au site lui permettant de gérer les évènements autour de la sortie des véhicules.



Rich média et expérience utilisateur

Au menu : de la vidéo à gogo, des vidéos interactives, le la 3D et des immersions virtuelles au volant.

Bref, du Rich media à tous les étages. L'experience utilisateur est devenu le premier objectif d'un site de lancement de produit.

Il ne s'agit visiblement plus d'informer mais de donner envie, de pousser le réalisme le plus loin possible afin de faire disparaître la frontière entre les concessions et le site web.


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les Flogos, les logos vilants en mousse de savon : écologie et innovation en street marketing

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La publicité est aussi concernée par l'impact de son activité sur l'environnement.

Communiquer sur son faible impact environnemental est un avantage concurrentiel qui a le vent en poupe.
Dans ce contexte, certaines initiatives voient le jour et sont pour le moins originales.


Des logos volants en mousse de savon

C17 Sfx, société spécialisée dans la mise en scène d'effets spéciaux, a développé le concept du Flogos. (Pour Flying Logos).


Le principe est assez simple mais est novateur. Vous créez votre logo en mousse (des milliers de billes de savon) et vous le laissez voler dans les airs au gré du vent. Bon, il faut compter tout de même une semaine pour la fabrication du générateur personnalisé.

Mais ensuite des logos à votre effigie s'envolent toutes les 20 secondes en moyenne. Ils peuvent voler seuls pendant presque 40 minutes. Et c'est joliiiii.




L'impact marketing n'est pas encore démontré mais l'innovation est toujours bénéfique. Conçu avec un mélange d’eau, de savon, d’hélium et d’air comprimé, ce système est, selon l’agence, garanti 100% écologique.


Un Flogo pourrait voyager jusqu'à 50 kilomètres et atteind 1,15 m de large. (Histoire d'être vraiment visible de tous)

Le logo ne laisse aucune trace quand il disparaît. L'agence recommande les Flogos pour notamment des opérations de street marketing. Il et vrai que cela permet d'attirer des badaux et que c'est presque un spectacle en soi...

Moi, j'adore

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Internet et les autres médias traditionnels: qui est devant, qui est à la traîne ?

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Sur ce blog, on traite beaucoup d'internet. Mais les Français sont exposés à d'autres médias, comme la télévision, la radio, la presse et même le cinéma. Il est toujours utile de savoir où en est internet par rapport aux autres médias traditionnels.


De nombreux contacts quotidiens.

En moyenne, en 2009, les Français de 13 ans et plus on eu en moyenne 40 contacts (expositions à des campagnes, bandeaux, liens, bannières...) avec Internet, chaque jour.
Ce nombre d'expositions est en hausse de presque 10% depuis 2006, on s'en doutait.



Stratégie multicanale ?

Internet n'est pas le seul média. Ainsi, 28,3% des Français (contre 18,5% en 2006) se trouvent en contact avec quatre grands médias chaque jour.

Regardons en détail le nombre de contacts qu'a en moyenne les Français avec les différents médias :

La télévision (toujours à la première place) : 16 contacts par jour. L'étude ne dit pas si ceux qui dorment devant comptent ou non.
La radio : 9 contacts par jour.
Internet : 4,6 contacts par jour. Il passe du 4e au 3e rang des médias les plus fréquentés, dépassant la presse écrite.
La presse écrite :3,2 contacts par jour.
La téléphonie mobile (et musique mobile) : 2 contacts par jour. (Merci iPhone)


Les sites de musique en streaming comme deezer et les iPhones permettent cette formidable progression. Selon moi la plus importante de toutes, car ce marché n'existait pas il y a quelques années.



De nouveaux entrants et un avenir très indécis

Et les jeux vidéos ? Ils sont aussi pleins de messages publicitaires qui contribuent à les financer, et se consomment autant sur iPhone que sur console ou PC. Selon médiamétrie, 14% des Français les pratiquent quotidiennement (contre 10% en 2007). Étude Médiamétrie.

La télévision continuera donc d'imposer des tarifs de diffusion de spots de 30 secondes à un prix avoisinant le budget webmarketing mensuel d'un site e-commerce. Ceci parce que l'audience est presque 4 fois supérieure et touche un public plus large.

Mais on en reparle dans quelques années, quand la mesure du ROI direct de chaque message sera devenue une quasi-norme...

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Les liens sponsorisés et le marché de la publicité en ligne : état des lieux en 2009

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Tous ceux qui investissent sur internet le savent, les liens sponsorisés sont une manne de nouveaux clients. C'est souvent le premier poste de dépense, loin devant les autres. J'ai déjà traité de l'intérêt d'un outil de web analytics pour optimiser ses budgets comme ici, mais voyons en détail le phénomène. (Etude cabinet percepta sur Les Echos)


Pour les novices, s'il y en a sur ce blog, les liens sponsorisés permettent aux annonceurs d'apparaître aux côtés des réponses dans le cadre d'une recherche sur Internet. (Encadrés en rouge dans mon exemple)




La part des liens sponsorisés dansa la publicité en ligne en 2009

En 2009, les liens sponsos (pour les intimes) ont représenté 34,2% des investissements publicitaires sur Internet. Et cette part de marché est en croissance. Ce support est largement dominé par Google en France, du haut de ses 95% de part de marché.

C'est un peu moins vrai aux US, où Bing de Microsoft réussi à prendre jusque 15% des investissements. (Non sans mal.)



Et les bannières ? Ca marche toujours ?

La part des investissements sur les bannières est deux fois moindre, de l'ordre de 17%. C'est un marché en déclin, mais qu'il ne faut cependant pas ignorer dans un plan marketing web. 
Le premier annonceur en France sur le support des bannières en 2009 est pagesjaunes.

En 2003, (une éternité en marketing internet) les liens sponsorisés ne représentaient que 8 % des investissements contre 34,5% pour les bannières. Tous ceux qui arrivent sur le marché du web aujourd'hui doivent trouver ces chiffres fous. Mais c'était il y a déja 7 ans.


La taille du secteur 

Selon ce même cabinet, la publicité en ligne en France a générée 2,5 milliards d'euros en 2009:

- 880 millions via les liens sponsorisés (+ 10 % sur un an)
- 455 millions pour les bannières (- 6 %)
- 470 millions pour les annuaires en ligne (+ 8 %)
- 345 millions pour les petites annonces sur Internet (- 5%).


Les bannières, c'est mort ?
Personnellement, je pense que non. Il ne faut pas oublier qu'en début 2010 Facebook est devenu le premier support publicitaire en ligne en France. Sa diffusion et la qualité des bases récupérées intéressent de très nombreux annonceurs. (Voir cet article).

L'année prochaine je ne serai pas surpris d'une remontée du secteur des bannières, merci Facebook.
Dans 7 ans, on parlera certainement un peu plus de l'iPhone, de Twitter et de Facebook qui se seront installés sur le marché publicitaire. Twitter est par ailleurs en train de lancer sa propre plateforme de pub.


Les budgets marketing n'étant pas extensibles à l'infini (dommage), les parts de marché seront redistribuées et donc la domination aussi.


Bien malin qui pourra prédire l'avenir...

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Vins Pierre Chanau : c'était sous mes yeux et je n'avais rien vu !

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Un billet presque hors sujet puisque traitant de marketing classique et non web. Mais cela vaut le détour et vous permettra de briller près de la machine à café ou en société (c'est moins sûr).

Amateur de vin, j'ai déjà pu voir et goûter à maintes occasions des bouteilles de tous horizons (Bordeaux, Bourgogne, Rhône...) parfois sous le même nom de producteur : "Pierre Chanau". Cela m'est arrivé plus d'une fois dans les brasseries de Paris et vous avez peut être fait la même expérience si vous avez déjà lu en détail les étiquettes des bouteilles que l'on vous sert. (Voir la photo en haut de cet article et la signature "Pierre Chanau" sur le col de la bouteille).


Mais qui est Pierre Chanau ?

Mais qui est ce Pierre Chanau capable de produire des vins partout en France ?
C'est l'excellent blog culinaire "A boire et à manger" qui m'a révélé le pot aux roses.

Pierre "Chanau" est une marque de distributeur (ou MDD en marketing). Il s'agit d'une anagramme. Inversez les lettres pour trouver la solution et vous obtenez : Auchan.

En lisant ce blog culinaire je me suis dit "non, c'est trop gros, c'est pas possible". Une recherche sur le très sérieux guide Hachette des Vins va me donner la réponse immédiatement.


Alors d'après vous, c'était trop gros ou c'est vraiment une MDD très culottée d'Auchan (ou une bonne blague) ?

La réponse : elle est ici.





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Nespresso : What Else ? Les dosettes Casino prêtes à envahir le marché

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«Nespresso, What else ?» demande  George Clooney dans tous les spots. "Les dosettes Casino" pourrait-on bientôt lui répondre!

Les capsules Nespresso sont protégées par toute une batterie de brevets depuis 1980. Mais le temps passe vite, c'était déjà il y a 20 ans. Les tous premiers brevets vont tomber de domaine public fin 2012.


C'est pas gagné d'avance

Mais des brevets, il y en a beaucoup. Du coup, créer une offre de capsules adaptables sur les cafetières Nespresso sans se prendre un missile de leurs avocats n'est pas si simple.

Ethical Coffee Compagnie a tenté sa chance. Son fondateur connaît très bien le sujet puisque, Jean-Paul Gaillard, a été patron de Nespresso de 1988 à 1997. Malin. Deux cabinets d'avocats ont travaillé à vérifier que les capsules produites ne violaient aucun brevet.

L'usine est en Rhône-Alpes (un argument de plus) et ne va pas faire les choses à moitié avec une capacité de production de 300 millions de dosettes. De quoi réveiller beaucoup de buveurs de café.


Nespresso se tient prêt

Nespresso assure avoir déjà préparé sa riposte commerciale. Cela promet !
Il faut dire qu'avec un marché de près de 1,3 milliard d'euros trusté par Nespresso, on devrait assister à un duel sans merci. Les bénéfices sont réalisés en grande partie sur les dosettes, et non sur les machines.

D'ailleurs Nespresso est le seul a avoir un brevet qui lui assure un monopole sur ses dosettes, à l'inverse des concurrents comme Tassimo.


Et cela va changer quoi ?

Côté tarif,, les dosettes vendues par Nespresso sont en moyenne à  35 centimes. Celles de Casino devraient être 20% moins chères et donc compatibles avec la cafetière Nespresso.



Casino joue la carte Ecolo (mais pas seulement)

Autre argument massue et dans l'air du temps : les dosettes Nespresso sont en aluminium, donc polluantes, et font l'objet d'une collecte spécifique pour retraitement. (Et donc re-pollution). A l'inverse celles mises au point par Casino sont totalement biodégradables.

Dernier argument et non des moindres, les capsules vont être vendues dans les 7.500 magasins Casino puis Monoprix et Leader Price. Ce qui est plus pratique que de passer dans les très chics points de vente Nespresso.


Marchera ? Marchera pas ?

Pour lancer le débat, l'histoire ne dit pas si les clients de Leader Price ont une machine Nespresso à la maison, et Nespresso joue à fond la carte du "c'est chic d'offrir un café Nespresso à vos amis". C'est moins vrai avec Casino, mais c'est plus écolo. Reste à savoir si c'est bon, parce que les dosettes Nespresso, c'est top.

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Baidu lève 50 millions de dollars pour Qiyi.com

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La concurrence est rude et ne vient pas des US. Baidu, le concurrent chinois de Google, continue de progresser. Il s'inspire librement de la stratégie de Google (qui avait racheté Youtube) en levant 50 millions de dollars pour Qiyi.com, le portail chinois équivalent de Youtube pour les anglophones.


J'avoue que ma visite sur Qiyi.com ne m'a pas vraiment permis de comparer les deux sites, je vous laisse essayer de faire votre propre expérience sur le sujet. Bon courage.


Baidu profite ainsi de la tension qui existe entre Google et le gouvernement Chinois. Piratage, contrôle, filtrage, autant de contraintes auxquelles que Google doit se soumettre ou renoncer. Pas simple pour la forme Américaine. A l'inverse Qiyi.com va se plier très consciencieusement aux lois en vigueur sur la censure locale.


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Le vin en ligne et les Français : étude du comportement en 2009

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Le comportement des Français prend de plus en plus en compte le web pour l'achat de vin en ligne. État des lieux.

Pour 70 % des Français, le vin est un produit à part car différents des autres alcools. La richesse de l'offre et la complexité des produits contribue à perdre quelque peu le consommateur. 78 % des Français estiment avoir besoin d'information.


Le web 2.0 est intégré aux mœurs

Le web prend tout son sens grâce à sa formidable capacité de trouver l'information que l'on cherche sur le vin de son choix. Internet est le support le plus utilisé comme guide d'achat.

Près de 45 % des consommateurs de vin consultent les blogs et forums spécialisés. La confiance accordée aux blogeurs autour du vin et de la gastronomie est considérable : 87% des internautes consommateurs de vin ont confiance dans l'info qu'ils y lisent.

Un internaute qui aime le vin le fait savoir : leur activité sur les réseaux sociaux est supérieur de 26 % à la moyenne. Le dialogue et la recherche d'information y et prépondérante. L'aspect communautaire des sites internet de e-commerce autour du vin n'est donc pas à minimiser.



Le web contre le circuit traditionnel

Enfin le meilleur pour la fin. Le web versus les cavistes. Le panier moyen du cyber-consommateur de vin est en moyenne 4 fois supérieur à son panier en circuit classique. Pauvre caviste.

Attention toutefois:  60% des consommateurs préparent les achats en ligne et le font dans les magasins. C'est un peu l'inverse du comportement classique en Hi-Fi et électroménager ou le prix est le critère d'achat le plus important.

Une bouteille de vin qui a été secouée ou transportée de hangar en lieu de stockage va forcément moins bien vieillir. Pour un grille pain, c'est moins vrai.

Source : Sowine






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