Juste avant de partir : Michael Jackson a fait les choses en grand

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Ce matin, vendredi 26 juin 2009, tout le monde apprend la mort de Mickael Jackson.

Des concerts innovants, des titres phares qui ont changé la musique et créé de nouveaux standards, les superlatifs ne sont jamais assez pour décrire la carrière de ce grand artiste.

Au passage, Thriller restera l'album le plus vendu de tous les temps, avec 108 millions d'albums vendus dans le monde, soit plus du double du suivant dans le classement "Back in Black" de ACDC (42 millions).


Sa dernière pub : la plus longue de l'histoire pour un artiste.

Juste avant de nous quitter, pour promouvoir la sortie de ses concerts, il s'est également offert la plus longue publicité jamais conçue pour un artiste : 3 minutes 30 à la télévision. Ci dessous la version diffusée sur ITV1.

Chapeau ! (sur le front, une jambe pliée, et le fameux déhanché)


Auto-dérision pour un gros navet : mon coup de coeur

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Le summum de la production cinématographique ne sera pas atteint avec ce film, Alien Versus Predator Requiem.

Un film pour soirées Pizza, bref, un gros navet, mais chacun se fera sa propre opinion. Alien versus Predator Requiem, cela ne vaut quand même pas un Oscar ou une Palme d'Or. D'ailleurs je n'ai jamais vu ces mascottes à Cannes.

Pour accompagner la sortie du film en DVD, la 20th Century Fox a mis en ligne, sur les plateformes de partage de vidéos, toute une série de films avec de l'ironie à forte dose.

Si le cinéma d'épouvante travaille surtout avec l'angoisse, la peur, bref, des émotions qui mettent un certain temps à s'installer dans un film, il paraît en effet difficile de faire passer cela dans un teaser de quelques secondes sans tomber dans le déjà-vu.

Mon gros coup de cœur pour cette série de bandes-annonces vient du fait que rien ne fait peur, cela fait rire et c'est fait pour. Il faut croire que les producteurs ont compris que les consommateurs de ces films sont conscients qu'ils regardent parfois des navets. Alors "allons y à fond dans l'auto-dérision" et cela va marcher...


Moi je dis bravo, bingo, j'adore. beaucoup de créativité, sans compter que l'exercice d'auto-dérision n'est pas chose facile.

Je vous les présente crescendo, elle sont dans l'ordre de la plus sérieuse à la plus débile. Pour peu que l'on y trouve du sérieux.



Pour être un bon joueur, il faut être un tueur
envoyé par aliensvspredatorrequiem.


Alien vs Predator : soirée DVD
envoyé par aliensvspredatorrequiem.



Alien vs Predator : soirée pizza
envoyé par aliensvspredatorrequiem.



Alien vs Predator: combat de chi-fou-mi
envoyé par aliensvspredatorrequiem.



Alien vs Predator : la douche
envoyé par aliensvspredatorrequiem.




La banque et la pub, 20 ans avant / après

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L'univers de la communication pour ces institutions financières chéries que sont nos banques, a toujours été délicat.


Aujourd'hui : Du fun et de l'humain

Aujourd'hui, la banque est humaine, ouverte, prête à financer tous vos projets et sait se mettre au second plan pour pousser ses clients au premier. Le banquier est presque votre nouvel ami, il fait tout pour mériter votre considération (ou votre argent, c'est vous qui voyez).

La banque d'aujourd'hui est aussi ouverte au jeunes, aux créateurs d'entreprises, qu'elle a souvent considéré comme des risques sur pattes et non des clients potentiels.

Un exemple de communication ultra moderne pour une banque avec deux des campagnes déjantées pour BNP-Paribas.



BNP Paribas / Fischerspooner
envoyé par BETCMusic.


TA+K ENTRER, la pub tv complète
envoyé par tapluskentrer.



Il y a 20 ans : du pognon et du pognon

Il est vrai que paraître un établissement solide et performant, c'est facile, et c'était principalement le créneau utilisé dans les années 80 et 90.

Petit exemple avec cette perle, diffusée lors de la privatisation de Paribas en 1987.
Notez qu'on est alors dans l'univers pure de l'institution financière, c'est à dire lointaine, parlant de grands projets, mais n'espérez pas y voir des êtres humains ou de gentils banquiers souriants.

Cette campagne est évidemment hors de notre contexte actuel de crise financière et de remise en cause de ces mêmes banques.


Pub - Paribas


Bing : flop ou alternative ?

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Vous le savez, Microsoft a décidé d'affronter son rival Google dans la course au moteur de recherche le plus puissant avec son moteur BING.
Histoire de ne pas prendre de gants, Microsoft utilise les mêmes armes et le même terrain.
Peut-être un peu trop à mon goût.

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Premier contact comparatif avec une requête simple : "Punta Cana"

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1 : Un univers dépouillé et clair, comme Google

Ici point de portail publicitaire clignotant de tous côtés, BING se veut être un moteur qui peut s'utiliser comme page d'accueil sans craindre l'invasion de bandeaux fluos.
Si le logo de Google change régulièrement en fonction de l'actualité, l'image de fond de BING changera tous les jours. Les couleurs sont plus sombres et un peu moins agressives que le blanc de Google.


2 : Des liens sponsorisés, comme Google.

Les liens sponsorisés, qui font la fortune de Google, sont là aussi présents. Tiens, eux aussi sous forme de liste, et eux aussi sur la droite de la page. Côté ergonomie, il ne se sont peut-être pas foulés, mais au moins l'utilisateur lambda de Google s'y retrouvera, et c'est bien là le but.


3 : le nom :

Il sonne bien, est prononçable partout dans le monde est est facilement mémorisable.
Une police claire et ronde, rien de très nouveau mais ça a le mérite d'être plutôt joli.


4 : fonctionnalités comme Google:

Des recherches web, des images, des vidéos, tout cela vous le retrouverez aussi sur BING. Mais l'avantage de Google vient de sa plus grande richesse, notamment les liens de recherche vers des documents, Youtube, ou encore la traduction... Mais pour combien de temps ?

Le petit plus de BING : la liste des requêtes assimilées à gauche de l'écran, assez pratique il est vrai, et enfin une nouveauté ici.


5 : Puissance du moteur de recherche

En tapant la requête "Punta Cana", 4 millions de réponses remontent via Google et 5 millions avec Bing. Mais un moteur se juge surtout à la qualité de ses réponses, et non à sa quantité.


6 : qualité des requêtes :

Toujours en tapant "Punta Cana", un mot clé ultra simple, Google met en avant des photos et des vidéos dans la page de résultat, ce que ne fait pas BING.
Un bon point pour Google qui étend ainsi ses réponses et en profite pour mettre l'accent sur la recherche multimédias.

En recherche de photos, plus l'on rajoute de critères et plus les réponses de Google apparaissent comme qualitatives. A l'inverse, des erreurs d'indexation pointent leur nez chez BING, surtout sur les requêtes plus complexes (Mots clés additionnés, photos de taille réduite ou de telle couleur dominante.)

En revanche, le moteur BING est beaucoup plus pratique à utiliser car les menus de filtres de recherche sont directement accessibles depuis la page de recherche. Avec Google, il faut passer par la recherche avancée, un lien à part, qui vous fait perdre de vue les résultats prédécents. Un bon point pour BING.


7 : Conclusion

Si le moteur de recherche Google a une forte avance, BING est prometteur car il propose les mêmes fonctionnalités, même si je préfère encore Google. Les résultats de recherches restent à améliorer mais sont tout à fait satisfaisantes pour une version bêta.

Le plus important sera l'impact de BING sur le monde du SEO/SEM. La grande majorité des sites ont indexé leur référencement sur Google et les agences vendent essentiellement des liens sponsorisés sur Google.

En prenant part à ce marché, Microsoft va ainsi brouiller un peu les cartes dans le monde bien réglé du référencement.

Il est vrai qu'il n'est jamais bon de laisser un leader seul en tête d'un marché, même si pour le coup, ce n'est pas Microsoft qui va me contredire...


Bière : un univers pétillant

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Pour tous ceux qui apprécient les publicités originales et décalées, il y a un univers qui a depuis longtemps décidé de jouer la carte de la caricature à fond, c'est celui de la bière.

Je vous laisse apprécier un petit aperçu de ce qui sort des neurones des créatifs, un peu partout à travers le monde.

Si vous voulez faire en sorte que vos consommateurs potentiels s'intéressent à votre produit, il semble qu'il faille présenter le consommateur moyen comme un gros macho, parfois malin mais souvent lourd, malgré ses bières light.

On pourrait même rajouter qu'il a de l'humour pour prendre tout ceci au 4,5e degré.



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